Lieu unique dédié à l’histoire des fibres nobles et au savoir-faire de la Manufacture Brun de Vian-Tiran. Ce musée sensoriel plonge les visiteurs dans l'univers de la transformation de la laine et des fibres naturelles. À travers des expositions interactives, vous découvrirez le processus de fabrication de textiles de haute qualité, tout en explorant les techniques ancestrales de tissage et de filature. Un véritable voyage au cœur de l’artisanat et de l’industrie textile provençale.

Pour profiter de la balade en petit train, rendez-vous au kiosque situé dans le square le long de l’Avenue des Quatre Otages. Vous pourrez y acheter vos billets juste avant l’heure de début de la balade.

Construit en 1885 pour le musicien Frédéric Giraud, le Château Giraud est une demeure bourgeoise de style éclectique, mêlant influences gothiques, classiques et Renaissance. Ses façades sont ornées de médaillons de compositeurs célèbres. Entouré du Parc Gautier (17 000 m²) longeant le canal du Moulin Vert, il offre aires de jeux, espaces de pique-nique et allées ombragées propices à la détente. Ce parc accueille aussi des événements culturels et festifs, contribuant à la vitalité de la ville.

Dès le XIXe siècle, les roues à aubes actionnaient machines et moulins en transformant l’énergie hydraulique en énergie mécanique. À L'Isle-sur-la-Sorgue, elles étaient placées en-dessous ou sur le côté pour utiliser la poussée de l’eau sur les pales. Principalement employées dans les papeteries et filatures, certaines servaient aussi dans les couvents pour récupérer l'eau ou chez des particuliers pour irriguer leurs jardins. Leur fonctionnement reposait sur un débit élevé et une faible chute d'eau.

Le Bassin de Bouïgas, situé à l'entrée de L'Isle-sur-la-Sorgue, est un site historique où les eaux de la Sorgue se séparent en plusieurs bras, alimentant les moulins et les jardins environnants. Ce bassin, dont le nom provient du provençal "bouleguer" signifiant "remuer", témoigne de l'ingéniosité des systèmes d'irrigation médiévaux. À proximité, des vestiges d'une ancienne porte des remparts rappellent l'importance défensive de ce secteur au Moyen Âge.

Construite au XVIIe siècle, elle est un témoin de l’histoire religieuse de la ville. Son nom provient des membres de la confrérie des pénitents, vêtus de bleu, qui y priaient et y célébraient leurs cérémonies. La chapelle abrite aujourd'hui des expositions temporaires et des événements culturels, offrant aux visiteurs une immersion dans le patrimoine spirituel et artistique de la région.